27 juillet 2010
Orages
Il est minuit passé, ça je le vois à cause de mon réveil qui répand une lumière blanchâtre, presque fantasmagorique dans toute ma chambre. Je suis seule, un orage éclate.
J'ouvre la fenêtre en grand. Une bouffée d'air frais glisse sur ma peau, sèche la sueur sur ma peau que quelques cauchemars ont posé là. Je n'écoute que le vent, le bruit des gouttes de pluie qui s'écrasent sur les feuilles des arbres. Je me concentre sur ça, tout ce que mon corps peut ressentir, j'en fais presque l'inventaire ça m'évite de penser.
Pourtant ce n'est presque pas nécessaire cette fois ci. Plus de vertige, ni de vide.
Je prends une feuille, j'écris. Je m'endormirais tard cette nuit.
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